Ruedi Pfyffer
Lorsqu’il voit un flipper, Ruedi Pfyffer a les yeux qui brillent. Dans son métier de concierge aussi, la technique est omniprésente.
Une fascination pour la technique
Quand j’étais plus jeune, je fréquentais beaucoup les salons de jeu avec mes amis. On y trouvait une multitude de flippers et de machines à sous. Aujourd’hui, les jeux d’argent sont interdits, les salles de jeux ont presque disparu, et l’intérêt pour ces machines a diminué. Mais pour moi, elles restent cultes. Et comme je suis électricien de formation, la technique me fascine. Voilà pourquoi, depuis 30 ans, je répare et révise ce type d’appareils, que je me procure auprès de revendeurs. Chez moi, j’ai un espace consacré à ce hobby et je compte aujourd’hui 200 pièces.
«La CSS est depuis toutes ces années un employeur très fiable.»
Parfois le chauffage, parfois la ventilation
La technique fait partie intégrante de mon travail de concierge au siège de la CSS, à Lucerne. Mon travail est extrêmement varié. Parfois, je m’occupe de réparer le chauffage, parfois j’effectue des interventions techniques sur la ventilation, d’autres fois encore, je passe en revue les dommages causés par un épisode de grêle. C’est cette variété des tâches qui rend mon travail à la CSS si intéressant. Mais sans les connaissances techniques dont je dispose, je n’aurais jamais pu comprendre les interactions qu’il y a dans ce bâtiment. Tout est lié, exactement comme dans un flipper.
Apporter une contribution à la communauté
Pour moi, il est important de travailler dans un esprit de partenariat et de pouvoir aider les gens. Si quelqu’un me dit qu’il a trop chaud ou trop froid dans son bureau, je cherche une solution. J’ai envie que tout le monde se sente bien dans le bâtiment et puisse y travailler dans de bonnes conditions. En fin de compte, nous formons une communauté. Et la contribution que je peux y apporter consiste à garder en état de marche toutes les installations techniques du bâtiment et à résoudre les problèmes.